Dans le JSP de cet été, un article a été écrit par Gaëtan BESIEUX sur le fameux concours de Granollers dont il était membre du jury.
Comme vous le savez déjà…. ou pas… 1066 a été finaliste de ce concours. Du coup, il y a quelques mots dessus !
Je cite…
Après ces deux jeux plutôt courts, nous approchons de 1066, le premier plat chaud. Si nos deux entrées étaient épurées au niveau graphique, 1066 nous plonge immédiatement dans l’austérité médiévale et la bataille d’Hastings. Chaque seigneur gagne des points en imposant sa suprématie militaire, religieuse et civile. Un jeu de majorité fin, agrémenté d’un léger hasard avec des cartes actions et une habile gestion des déplacements. Hélas, la fin est laborieuse. Un principe de pioche des tuiles bâtiments cachées force en effet les joueurs à mémoriser le contenu des piles alors que le cœur du jeu est ailleurs.
Du coup, suite à la lecture de cet article, mon après-midi s’est résumé à penser à “cœur du jeu” et “fin laborieuse” entre-couper quand même d’un peu de peinture !!! La porte hein !!! Pas de figurines !!!
Du coup, deuxième de son nom, j’ai eu une idée pour essayer de proposer une autre fin. Il n’y a plus qu’à tester cela la prochaine fois !!!
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